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28 Feb
28Feb

Dimanche 4 février 2024 : Jésus en mouvement vers la maison de Simon Pierre ((cf. Mc 1, 29-39) : Jésus, qui va à la rencontre de l’humanité blessée, nous montre le visage du Père. Il se peut qu’en nous subsiste l’idée d’un Dieu distant, froid, indifférent à notre sort. L’Evangile, en revanche, nous montre que Jésus, après avoir enseigné dans la synagogue, sort pour que la Parole qu’il a prêchée puisse atteindre, toucher et guérir les gens. En faisant cela, il nous révèle que Dieu n’est pas un maître détaché qui nous parle d’en haut; au contraire, c’est un Père plein d’amour qui se rend proche, qui visite nos maisons, qui veut sauver et délivrer, guérir de tous les maux du corps et de l’esprit. Dieu est toujours proche de nous. L’attitude de Dieu peut être exprimée en trois mots: proximité, compassion et tendresse.

Dimanche 11 février 2024 : la guérison d’un lépreux (cf. Mc 1, 40-45) : Demandons-nous donc aujourd’hui: est-ce que je sais me placer à l’écoute des personnes, suis-je disponible à leurs bonnes requêtes? Ou bien est-ce que je cherche des excuses, je tergiverse, je me cache derrière des mots abstraits et inutiles? Concrètement, à quand remonte la dernière fois que j’ai rendu visite à une personne seule ou malade — que chacun réponde dans son cœur —, ou que j’ai changé mes programmes pour répondre aux besoins de qui me demandait de l’aide?

Dimanche 18 février 2024, premier dimanche de Carême, la tentation de Jésus (cf. Mc 1, 12-15) : quand nous entrons dans le désert intérieur, en effet, nous pouvons y rencontrer des bêtes sauvages et des anges… Nous pouvons donner des noms à ces «bêtes» de l’âme: les différents vices, la soif de richesse, qui nous enferme dans le calcul et l’insatisfaction, la vanité du plaisir, qui condamne à l’inquiétude et à la solitude, et encore l’avidité de célébrité, qui génère l’insécurité et un besoin constant de confirmations et de protagonisme — n’oublions pas ces choses que nous pouvons rencontrer en nous: soif, vanité et avidité… Les esprits angéliques rappellent les bonnes pensées et les sentiments suggérés par l’Esprit Saint. Alors que les tentations nous déchirent, les bonnes inspirations divines nous unifient et nous font entrer dans l’harmonie: elles désaltèrent le cœur, infusent le goût du Christ, «le goût du Ciel».


TMNews@150224

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