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Cet article est un exposé de Monseigneur Mathieu Bondobo, Vicaire Général de l'Archidiocèse de Bangui, lors de la journée de formation permanente des prêtres oeurant à Bangui. Nous vous exposons ici la première partie concerant le Conseil Pastoral Paroissial et la deuxième au numéro d'après.

Exposé sur la XVIe Assemblée Générale Ordinaire du Synode des Evêques lors de la journée de formation permanente des prêtres oeuvrant dans l’Archidiocèse de Bangui le lundi 11 février 2025. Il comporte trois parties : le Préambule, l’essentiel du texte de la Deuxième Session et le Postambule.

Le Père Mathieu Fabrice Evrard Bondobo, Vicaire Général et professeur au Grand Séminaire Saint Marc de Bimbo, a tenu cette conférence à la Cathédrale de Bangui en cette année jubilaire pour faire découvrir aux fidèles le sens et les pratiques de l’Eglise sur les indulgences.

C'est à la Cathédrale Notre Dame de l'Immaculée Conception de Bangui qu'il y a eu cette conférence animée par un liturgiste sur le sacrement de réconciliation. Par son expérience comme curé et comme professeur au Grand Séminaire, l'abbé Fagba est revenu sur l'importance de cette pratique pour découvrir ses richesses.

Vu des confusions que cela crée dans l'appelation Monseigneur pour certains dignitaires dans l'Eglise Catholique, nous reprenons ici l'article Publié le 07 janvier 2014 à 19:54 Par Anita Bourdin de Zenit.org. ROME, 7 janvier 2014 (Zenit.org).

« Les martyrs modernes, victimes de l’exploitation des ressources minières en Afrique : Réalités et perspectives de l’Eglise en sortie ». C’est le thème d’une conférence présentée le 12 octobre à Rome par le cardinal Fridolin Ambongo, archevêque métropolitain de Kinshasa (RDC) et président du Symposium des Conférences Episcopales d’Afrique et Madagascar (SCEAM). C’était à l’occasion d’un webinaire hybride organisé à l'occasion du 60e anniversaire de la canonisation des Martyrs de l’Ouganda.

Lorsque nous naissons, nous découvrons la nature. C’est la nature qui nous accueille. Et nous-mêmes nous faisons partie de cette nature tout en ayant autorité sur elle. Dès le commencement, Dieu a dit : « remplissez la terre et dominez-la. » cf. Gn 1,28. Malgré la profondeur et le firmament qui entourent l’homme, ce dernier reste responsable de ce qui s’y passe car il a reçu mandat du Créateur. C’est pourquoi il foule partout les pieds pour prouver sa domination. L’homme, par sa curiosité scientifique est entré sous terre, a plongé dans les eaux profondes, a marché sur la lune, a exploré des forets sauvages, a escaladé des hautes montagnes. La nature, par ses recherches ne lui est plus étrangère.

le Pape a répondu avec ces mots : « Ce sont toutes des vies. Le roi a été courageux car, face à une loi de mort, il n’a pas signé et a démissionné. Il faut du courage ! Il faut un politicien “en pantalon” pour faire cela, il faut du courage… Les femmes. Les femmes ont droit à la vie : à leur vie, à la vie des enfants. N’oublions pas de dire ceci : un avortement est un meurtre. La science dit qu’un mois après la conception, tous les organes sont déjà là. On tue un être humain, on tue un être humain. Et les médecins qui se prêtent à cela sont - permettez-moi de dire – ils sont des tueurs à gage ».

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