Actualités de l'Eglise

Son Excellence Monseigneur José-Bernard LIKOLO, Administrateur Apostolique de Molegbe, a présidé l'Eucharistie le matin du samedi 27 avril 2024 dans la grande salle du petit séminaire Saint François d'Assise de Kota-koli. Après la messe, il a rencontré tous les petits séminaristes (178 au total).

Du lundi 8 au samedi 13 avril, les sœurs de la Congrégation de l'Enfant Jésus Providence de Rouen ont eu une assemblée générale en présence de la Mère générale qui a effectué le voyage de France en RCA pour ladite assemblée. La messe de clôture a été célébrée à la maison régionale de Bangui le samedi 13 avril à 17h30 par le Père Jean-Marie Konde (prêtre de l'archidiocèse de Kinshasa en Fidei Donum). Commentant la lecture du choix de sept diacres et de l'évangile de la tempête sur la mer, le célébrant de la messe a exhorté les participants sur la nécessité de marcher ensemble dans l'unité, la confiance et le pardon termes qui rappelaient d'ailleurs le thème général de leur assemblée.

Cette lettre expose l’inquiétude des évêques de l’ASSEPKIS sur la situation de crise au théologat Saint Cyprien de Bunia. Car la maison de formation qui a pour vocation de préparer les jeunes au sacerdoce ministériel selon l’esprit et les normes de l’Église Catholique de rite latin s’est transformée depuis le mois de janvier 2024 en un endroit où s’observe un climat malsain et toxique dans les rapports entre Formateurs et Séminaristes. Cela remet en cause, selon les termes de la lettre, les fondamentaux de la formation sacerdotale. Particulièrement la confiance mutuelle, la bonne entente, le respect, l’obéissance et la discipline.

(l’Assemblée Épiscopale Provinciale de Bukavu) est en session ordinaire dans la ville de Butembo depuis ce lundi 8 avril. Ces assises se tiennent au Centre spirituel des Sœurs Orantes de l’Assomption à Kasongomi.

Par le communiqué de la CECA ( n.35/CECA/SG/24) signé par son Secrétaire général Abbé Cédric KONGBO, la communauté centrafricaine avait appris avec baucoup de regret la mort de l’évêque de Kaga-Bandoro le dimanche 31 mars 2024, dimanche de Pâques,à 5h. Son corps a été ramené dans la ville de Bangui le même jour pour la concervation à la morgue. Par un autre communiqué officiel de la Conférence Episcopale de Centrafrique, une semaine après, ayant pour référence n.38/CECA/24, tout le programme de l’inhumation de Monseigneur Thaddée a été livré.

Débuté le 11 mars, le Ramadan a plongé les frères musulmans dans une profondeur spirituelle par les prières intenses et un jeûne quotidiens qui les oblige de s’abstenir de manger, de boire et de fumer de l’aube au coucher du soleil. Ils ont droit, durant cette longue période, de deux repas seulement au choucher du soleil (Iftar) et avant l’aube (Suhoor).

Attéri à Gemena le 2 avril 2024, l’Archevêque de Kinshasa s’est offert le devoir de visiter sa famille biologique, de célébrer les trente ans de la Custodie Générale des Frères Mineurs des Capucins aux Congo Kinshasa et Brazzaville et de célébrer ses cinq ans dans son terroir depuis qu’il a été cardinal.

Le regard du Seigneur sur chacun de nous n’est pas un phare aveuglant qui éblouit et met en difficulté, mais la douce lueur d’une lampe amicale, qui nous aide à voir le bien en nous et à nous rendre compte du mal, afin que nous puissions nous convertir et guérir, soutenus par sa grâce.

Pour mieux fêter la Miséricorde divine le dimanche après Pâques, dimanche de Quasimodo ou de Saint Thomas, il est demandé à tous les fidèles de s’engager à la neuvaine préparatoire. C’est avec le chapelet de la Divine Miséricorde durant neuf jours depuis le Vendredi Saint que les cœurs des fidèles seront disposés à recevoir les grâces miséricordieuses face à leurs péchés et maux : « Même les pécheurs les plus endurcis, s’ils récitent ce chapelet une seule fois, obtiennent la grâce de mon infinie miséricorde » ; « En ce jour sont ouvertes toutes les sources divines par lesquelles s'écoulent les grâces ; qu'aucune âme n'ait peur de s'approcher de moi, même si ses péchés sont comme l'écarlate affirme le Christ à Faustine la grâce de mon infinie miséricorde », affirme le Christ à Faustine. Bonne dévotion à tous ceux qui sont appelés à ouvrir dès aujourd’hui cette neuvaine de grâce divine.

Il y a une réalité dans la vie quotidienne qui est toujours refusée par l’être humain. C’est la souffrance. Aimer la souffrance apparait comme une insulte à la vie. Dès le commencement, le jardin a été préparé pour l’homme comblé par un décor verdoyant sans la moindre idée de ce que valait le prix de ce décor. Adam, avant le péché, est le symbole de cet homme le plus comblé à qui on a fait goûter la résurrection sans connaître la mort. Il ne pouvait résister aux propositions alléchantes du fruit passeur à la mort. Surpris de sa déchéance, le ‘’tiré de la terre’’ ne doit désormais vivre que dans l’attente du jour du relèvement de l’humanité que provoquera celui qui tombe du ciel pour mourir dans le sol afin d’apporter VIE.