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29 Mar
29Mar

C’est en Pologne  que Jésus s’est révélé à une religieuse au début du 20ème siècle. La  Sœur Faustine Kowalska (1905-1938)  a mentionné dans son journal intime toutes les paroles inspirées par sa rencontre avec le Christ. C’est dans ses écrits qu’on découvre la volonté de Jésus pour les pauvres pécheurs qui recourent à la miséricorde divine.

Voici l'extrait du Journal de la Sœur Faustine qui explique tout le sens de la Miséricorde Divine : « Ma fille, parle au monde entier de mon inconcevable Miséricorde. Je désire que la Fête de la Miséricorde soit le recours et le refuge pour toutes les âmes, et surtout pour les pauvres pécheurs. En ce jour les entrailles de ma Miséricorde sont ouvertes, je déverse tout un océan de grâces sur les âmes qui s'approcheront de la source de ma miséricorde ; toute âme qui se confessera et communiera, recevra le pardon complet de ses fautes et la remise de leur peine ; en ce jour sont ouvertes toutes les sources divines par lesquelles s'écoulent les grâces ; qu'aucune âme n'ait peur de s'approcher de moi, même si ses péchés sont comme l'écarlate. [...] La Fête de la Miséricorde est issue de mes entrailles, je désire qu'elle soit fêtée solennellement le premier dimanche après Pâques. Le genre humain ne trouvera pas la paix tant qu'il ne se tournera pas vers la source de ma Miséricorde. »

Deuxième dimanche de Pâques : fête de la miséricorde divine

 Le journal en ligne La Croix nous rapporte que La fête a été instituée en 1985, tout d’abord pour le diocèse de Cracovie par son évêque, le cardinal Franciszek Macharski, puis pour quelques autres diocèses de Pologne. Dix ans plus tard, en 1995, le pape Jean-Paul II l’a étendue à toute la Pologne, à la demande expresse de l’épiscopat polonais. Le 30 avril 2000, deuxième dimanche de Pâques de cette année-là et jour de la canonisation de sainte Faustine à Rome, il l’a élargie à toute l’Église. 

Le deuxième dimanche après Pâques clôture l’Octave de Pâques qui est un prolongement du grand mystère de la foi. L’on ne peut dissocier l’œuvre de la rédemption de la miséricorde divine. Car c’est par sa miséricorde que le Christ a vécu et a souffert la passion jusqu’à la mort avant sa résurrection.

Alors qu’en Pologne se célébrait déjà cette fête de la Miséricorde Divine le Deuxième Dimanche de Pâques, le Pape Jean-Paul II l'a, le 30 avril 2000, associée à Sainte Faustine. C’est le 22 avril 2001 que la fête fut célébrée pour la première fois comme fête universelle. Le troisième millénaire qui est encore au début de son premier siècle a été consacré le 17 août 2002 à la miséricorde divine par Jean-Paul II dans le sanctuaire de la Miséricorde Divine à Kraków-Łagiewniki où se trouvent les reliques de la Sœur Faustine. Après sa mission sur terre, le Saint Pape Jean-Paul II a quitte ce monde à 21h37 la veille du dimanche de la Miséricorde Divine qui était tombé le 3 avril 2005. Il a été béatifié et canonisé lors des dimanches de la Miséricorde Divine : respectivement le 1 avril 2011 et le 27 27 avril 2014.

Pour mieux fêter la Miséricorde divine le dimanche après Pâques, dimanche de Quasimodo ou de Saint Thomas, il est demandé à tous les fidèles de s’engager à la neuvaine préparatoire. C’est avec le chapelet de la Divine Miséricorde durant neuf jours depuis le Vendredi Saint que les cœurs  des fidèles seront disposés à recevoir les grâces miséricordieuses face à leurs péchés et maux : « Même les pécheurs les plus endurcis, s’ils récitent ce chapelet une seule fois, obtiennent la grâce de mon infinie miséricorde » ; « En ce jour sont ouvertes toutes les sources divines par lesquelles s'écoulent les grâces ; qu'aucune âme n'ait peur de s'approcher de moi, même si ses péchés sont comme l'écarlate affirme le Christ à Faustine la grâce de mon infinie miséricorde », affirme le Christ à Faustine. 

Bonne dévotion à tous ceux qui sont appelés à ouvrir dès aujourd’hui cette neuvaine de grâce divine.

TMNews@210324

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